LA PRISE EN CHARGE DE LA BOULIMIE ET DE L’HYPERPHAGIE

La prise en charge rapide est un facteur déterminant pour espérer une guérison et éviter une chronicité. Ces pathologies nécessitent une prise en charge pluriprofessionnelle pour traiter les aspects psychologiques, somatiques, nutritionnels, familiaux et sociaux avec :

  • Une approche psychothérapique
  • Une thérapie comportementale dialectique
  • Une thérapie comportementale et cognitive
  • Une psychothérapie d’inspiration psychanalytique
  • Une thérapie interpersonnelle
  • Une thérapie familial

Ces choix seront pris en fonction des besoins du patient, de la nécessité privilégié par l’équipe médicale et de ce qui a déclenché ces troubles.

En plus d’une prise en charge médicale, un accompagnement alternatif peut être un véritable plus. N’hésitez pas à me contacter.

Sandrine

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LES CONSEQUENCES DE LA BOULIMIE

Avec le recours aux vomissements auto induits, ainsi qu’aux laxatifs et aux diurétiques peuvent développer les complications suivantes :

  • Altération de l’émail des dents, déchaussements, caries, lésions aux gencives
  • Lésions digestives au niveau de l’œsophage, reflux gastro-œsophagien, gastrite…
  • Ostéoporose ou perte de la densité osseuse
  • Déshydratation
  • Règles irrégulières et baisse de la fertilité chez les femmes, baisse de la libido et troubles de la sexualité chez les hommes
  • Dénutrition qui induit des carences nuisant gravement à a santé
  • Perturbation métaboliques peuvent entraîner des troubles cardiaques et rénaux

Sur le plan psychique, il y a la perception erronée de soi-même avec le manque d’estime et de confiance en soi. Les personnes boulimiques sont sujettes à l’hyperémotivité et à l’impulsivité, à l’anxiété, ainsi qu’au développement de pensées obsessionnelles ou encore une tendance à la dépression avec idées suicidaires.

Sur le plan social, le repli sur soi et à l’isolement avec parfois des conséquences sur les études ou le travail avec un manque de motivation, un désintérêt, une baisse de performance…

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BOULIMIE, LES SYMPTÔMES QUI DOIVENT ALERTER

La boulimie se manifeste sous la forme de pulsions ou de crises, à laquelle le boulimique ne peut pas résister. Ces crises se présentent sous la forme d’un besoin angoissant de manger, c’est le CRAVING : une sensation de faim incontrôlable qui entraîne une consommation de nourriture en grande quantité et ingurgitée rapidement.

Le boulimique mange n’importe quel aliment qui est à sa portée. Souvent, il ingurgite des aliments qui ne sont pas à préparés, pas à cuire et qui sont gras, sucrés et hautement caloriques.

Les crises se déroulent souvent quand la personne est seule, à l’abri des regards et en dehors des repas. Après ces crises, la personne boulimique éprouve une sensation de malaise, de remords et de dégoût de soi. Une personne boulimique est rarement en surpoids ou obèse, même si son poids peut fluctuer de quelques kilos d’une semaine à l’autre.

Un médecin peut confirmer la suspicion de boulimie en utilisant le test SCOTT ou EAT26 en recherchant aussi des symptômes associés comme :

  • Addiction : alcool, tabac, médicaments psychotropes, cannabis…
  • Troubles de la personnalité
  • Etat dépressif
  • Si le sujet est anxieux ou angoissé
  • Chez les adolescentes et les jeunes femmes, des règles irrégulières ou absentes
  • La répétition des épisodes de crises de boulimie
  • La survenue d’au moins 2 épisodes boulimiques par semaine et ce depuis au moins 3 mois
  • Le recours fréquent à des comportements compensatoires inappropriés
  • L’intérêt excessif porté par le sujet boulimique à son apparence physique, à son corps et à la pris de poids
  • La sensation de perte de contrôle sur l’absorption d’aliments lors des crises de boulimie

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LA BOULIMIE (personnes concernées et causes)

La boulimie touche en majorité les femmes, qui représentent 83% contre 17% d’hommes. La boulimie concerne en France environ 2% de la population féminine et 4 à 8% d’étudiante ce qui correspond à environ 220 000 femmes. Moins de 40% des boulimiques ont moins de 25 ans.

La boulimie se caractérise par des épisodes récurrents de frénésie alimentaire suivie de comportements compensatoires inappropriés tels que l’absorption de diurétiques ou de laxatifs, des vomissements auto induits, la pratique d’exercices physiques excessifs ou des jeûnes qui libèrent des endorphines qui procurent du bien être (que l’on retrouve aussi dans l’anorexie). Ces épisodes boulimiques se reproduisent au moins une fois par semaine sur une durée de 3 mois.

Les causes de la boulimie sont multiples. Elles peuvent être influencées par une combinaison de facteurs psychologiques et génétiques, ainsi que par des facteurs environnementaux, familiaux ou sociaux.

Une personne boulimique peut souffrir de troubles de la personnalité, de troubles dépressifs ou de troubles bipolaires, de TDAH. Elle sont vulnérable psychologiquement et elles peuvent souffrir aussi d’impulsivité, d’un manque de confiance en soi et/ou d’estime de soi souvent associé à un besoin de perfectionnisme.

Des événements personnels difficiles peuvent être des facteurs déclencheurs tel que : séparation, deuil, maltraitance, abus sexuel ou physique, traumatismes dans l’enfance…

Les causes socioculturelles avec une pression sociale afin de rentrées dans des cases. Le mode de vie déstructuré où on mange plus souvent, moins assis, moins en famille… Ces pertes de repères font que l’on mange vite, n’importe quoi, à n’importe quel heure, avec ou sans sensation de faim. On mange aussi pour oublier, pour se créer une carapace pour amortir nos émotions douloureuses et trop souvent non verbalisées.

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TCA OU TROUBLES DU COMPORTEMENT ALIMENTAIRES

Les TCA ou aussi troubles des conduites alimentaires caractérisent des conduites alimentaires qui sont différentes de celles habituellement adoptées par les personnes vivant dans le même environnement. Ils se manifestent par des habitudes et des comportements déviants et envahissants par rapport à la nourriture, à l’image du corps et au poids des personnes qui en souffrent. Ces troubles sont importants et ils durent dans le temps. Ils ont des répercussions psychologiques et physiques.

Les TCA concernent environ 1 million de personne en France. Plus de la moitié ne sont pas détectées et donc pas soignées.

Les 3 principales:

  • l’anorexie mentale touche environ 1% des femmes et 0,3% des hommes,
  • la boulimie touche environ 1,5% des femmes et 0,5% des hommes,
  • l’hyperphagie boulimique touche environ 3% des femmes et 1,5% des hommes

Les formes moins typiques sont également très nombreuses. Ceux sont des maladies mal connues, mal perçues et souvent jugées par manque de connaissance du sujet. Elles sont pourtant indépendante de la personne qui en souffre, elles sont sources souvent de graves complication et peuvent entraîner le décès…

En plus d’une prise en charge médicale, un accompagnement en médecine alternative peut être un plus. N’hésitez pas à me contacter.

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